Résumé : Résumé : Ceux qui pensent que la campagne est un lieu calme et paisible se trompent, on y trouve des animaux particulièrement agités, un Renard qui se prend pour une poule, un Lapin qui fait la cigogne et un Canard qui veut remplacer le Père Noël. Si vous voulez prendre des vacances, passez votre chemin... Bonus : Making of (14'41?) - Leçon de dessin par Anne Douhaire (3'30?).
Notre avis : La beauté et la délicatesse des dessins à l'aquarelle et les histoires qui mêlent grands thèmes et humour, font de cette nouvelle aventure proposée par le réalisateur d'"Ernest et Célestine", une belle et franche réussite. Un film qui ravira les petits et comblera les adultes. Courrez découvrir ces joyeux amis à la fois cocasses et emplis de tendresse. Superbe. CD.
Notes : Prêt consultation
Format(s) Vidéo(s) : 16/9, 1:78
Format(s) audio(s) : Dolby Digital 5.1
A partir de 6 ans
Tous publics
Prix Lumières 2018 : Meilleur Film d'animation - César℗ 2018 : Meilleur Film d'animation
Des trois volets, c'est le second le plus réussi. Avec une justesse des gags combinée au talent de faire naître l'émotion sans sensiblerie. Mais les épisodes qui l'entourent n'ont rien de bouche-trous. Ils prolongent le plaisir pris devant l'économie de traits des dessins si essentielle à la spontanéité se dégageant de cet ensemble ludique et rythmé. - L'Express - Thierry Chèze - 20/06/2017
Un film d'animation français, au trait délicat et à l'humour poétique et déjanté. - Bande à part - Isabelle Danel - 20/06/2017
En moins d'1h30, sans insister, sans se prendre au sérieux, et dans de grands éclats de rire : le comble de l'élégance ! - Positif - Bernard Génin
En adaptant sa BD, Benjamin Renner, le réalisateur d'"Ernest et Célestine", signe une pépite tragicomique. - Le Parisien - Renaud Baronian - 21/06/2017
Les animaux de la ferme vus par Benjamin Renner sont comme les sept nains de Walt Disney : drôles, désordonnés, amicaux, parfois dyslexiques. Ils apportent, délicieusement, un peu de douceur et de poésie dans un monde de brutes. - Le Nouvel Observateur - François Forestier - 21/06/2017